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Sephiria Fleming
Sephiria Fleming



Une maid dévouée... et certainement pas assez ! [Terminée] | Dim 30 Sep - 22:24



AVATAR

Votre personnage


Avatar : BB de Fate
DC ou TC ? : Sixième compte, je talonne le non-terrien de ce forum !
Âge : 324 solstices.
Orientation sexuelle : Bakurasexuelle… bon, et aussi Bakurasexuelle. Non, sans rire. Bakurasexuelle. Non allez... B-... Bakurasexuelle.
Race : Demi-succube & demi-démone à prédominance succube.
Groupe : Maîtresse.
Métier : Maid en chef.


Parlez donc un peu de vous

Code du règlement (répondez à la question) : Venez m'en faire découvrir de nouvelle. ♡
Âge : Ui ui.
J'ai signé le règlement : Oui.
Une dernière volonté? : Je veux être vite validée sivouplé. J'ai trop travaillé pour ça.


PHYSIQUE
« Sac à patate. »

Sephiria n’est pas très jolie.

Elle est grande, si grande qu’elle n’arrive pas à cacher sa carrure longiligne. Elle cache son corps svelte sous un épais manteau noir, comme une sorcière des temps anciens, ou par des vêtements amples qui siéraient mieux à un paysan pauvre, venu d’on ne sait où ; cela tend à rendre son corps plus ‘‘gros’’ qu’il n’y paraît. Elle camoufle également son visage par une frange, néanmoins précisément taillée jusqu’à ses paupières. Quant à ses yeux, ils sont dissimulés par une paire de lunettes rondes et épaisses, donnant ainsi un air abruti et perdue à celle-ci. Ses cheveux sont attachés en une queue couette sur un côté, dont souvent, quelques mèches s’échappent çà et là.

Elle n’attire pas grandement l’attention d’autrui ainsi vêtu. Une image un peu rondouillette et inculte qui n’excite personne, comme si Sephiria ne connaissait pas la définition du mot « propre ».

C’est un sac à patate sur pattes.


Cette première image est néanmoins voulu.

Derrière ses vêtements amples qui masquent son corps, se révèle une peau laiteuse – qui devient très rapidement halée au contact du soleil. Une paire d’yeux violacés, tantôt rouge, tantôt bleu selon les reflets de la lumière, scintillant de malice une fois ses lunettes retirées. Son beau faciès est pareil aux nymphes, merveilleusement accompagné par un ruban – très précieux pour madame. Ses tenues ordinaires sont nettement plus féminine, n’hésitant pas à se vêtir d’une tenue légère qui met en valeur sa poitrine généreuse, son fessier fermes et rebondis, sa taille élancée, et le galbe de ses cuisses. Bien, qu’elle aborde généralement une tenue de soubrette dû à son poste.

Sephiria prend grandement soin de son corps et n’aborde que ses tenues osées et coquines pour son maître. Très peu l’ont donc vu comme ainsi, puisqu’elle se réserve entièrement pour Bakura, quitte à sortir comme un sac pour ne pas exposer sa beauté aux autres.


CARACTERE
Il y a toujours un revers de la médaille, une facette qu’on cache à chacun et une face qu’on choisit d’aborder en permanence – bonne ou mauvaise.

Sephiria n’y fait pas exception. Elle a ses propres manières, ses propres attentes et choisit quoi montrer et à qui surtout.

Son expérience à vivre comme une soubrette, travaillant çà et là pour d’autres, en a résulté une personnalité malléable, lisse. Elle semble être très soumise, n’osant à peine élever sa voix pour se faire entendre. Si bien, qu’on pourrait l’écraser sans aucun soucis, comme une vulgaire fourmi.

Pour ne pas avoir d’amis, Sephiria s’est enfermée dans un mutisme à toute épreuve. Et si une personne persistait à être insistante, elle ripostait par une réplique cinglante et sec qui avait le mérite de calmer tout de suite. Car oui, la jeune femme a du répondant. Derrière son visage agréable se trouve une franchise qui poignarde quiconque, même involontairement, uniquement par peur d’être blessée à nouveau – non par des coups, mais par des mots. Frapper en premier pour ne pas souffrir ensuite. Pas d’attache, pas d’amis, pas de trahison, pas de cœur brisé. A ce titre, elle n’entretient aucun sentiment bienveillant envers les autres, ni pitié, ni compassion.

Pour autant, elle se montre mature avec autrui, ne faisant aucune crise, ayant un recul important sur certaines choses dû à sa misérable vie d’antan. Sephiria n’est pas totalement insensible non plus, elle prodigue parfois des conseils à certains dans l’ombre, ne souhaitant pas être reconnue comme une héroïne ou une autre bêtise du genre. C’est surtout pour sa bonne conscience.

Elle peut néanmoins se présenter hautaine lorsqu’il s’agit de son poste de maid en chef et tout ce qui touche de près ou de loin au Roi des Voleurs.


Cependant, celle-ci est très différente envers et avec Bakura. Si Sephiria se montre récalcitrante aux nouvelles rencontres, mentant allégrement pour préserver ses sentiments, elle est toujours sincère avec ce dernier et n’a jamais osé mentir face à lui. Elle est entièrement vulnérable, s’offrant sans retenu à chaque caprice qu’il pourrait faire. De ce fait, celle-ci est obsessionnelle à ce propos, guettant toujours son approbation, son amour, son affection ; ses avis comptent énormément pour Sephiria qui pourrait se remettre immédiatement en question si jamais ses agissements déplaisent à son maître – même si elle aurait potentiellement raison sur quelque chose. Elle déteste partager celui-ci, se montrant exceptionnellement égoïste et jalouse et pourrait presque devenir une femme cruelle.  

Si auparavant, elle ne s’était jamais intéressée aux coquetteries, désormais, elle en connait un rayon, choisissant avec soin chaque tenue, position, parole avec minutie afin d’être une femme d’exception.



Sephiria ne vit qu’au travers de Bakura et se moque éperdument de paraître ennuyeuse aux yeux des autres. Tout ce qui compte c’est Bakura et rien d’autre.

Malléable | Mature | Franche | Gentille | Hautaine | Fière || Egoïste | Sincère | Jalouse | Coquette | Enjouée | Obsessionnelle


POUVOIR
Aromathérapie :  Sephiria peut générer sur un périmètre de cinq mètres autour d'elle des parfums ayant différents effets sur les personnes environnantes. Cela peut aller d’un parfum envoûtant qui apaisera les sens à une odeur beaucoup plus agressive qui pourra aller jusqu’à provoquer des hallucinations chez ses victimes. La palette d’action et d’effets est en fait aussi large que ce que votre imagination peut laisser entrevoir, bien qu’il suffise évidemment de ne pas respirer pour se défaire de son emprise.

Mais pour être franc, elle utilise son pouvoir uniquement pour le bien de la villa… ou pour séduire son maître. Elle laissera donc souvent des effluves apaisantes pour permettre à toutes les personnes présentes dans l’enceinte de la villa de s’y sentir bien. Car même si son pouvoir ne s'étend que sur une faible distance (moins de cinq mètres autour d'elle), une odeur reste une odeur : elle perdurera quelques temps dans l'air avant de disparaître en fonction de l'aération et autres facteurs logiques. Ce pouvoir ne pourra en aucun cas être létal. Pas de trace de poison ou de toute autre substance mortelle dans les effluves dégagées par la jolie maid. Et bien évidemment, une fois l'odeur estompée les effets qui y sont liés disparaissent tout autant sans laisser de séquelle particulière.


HISTOIRE
Un tintement se fait entendre, puis un bruit sourd. Elle réajuste ses lunettes rondes jusqu’au fond de l’arrête grâce à son majeur – profitant pour désigner un doigt majestueux à ceux qui étaient derrière une vivre opaque. Elle souffla bruyamment, montrant son impatience à rester assise à bayer. La lampe fixée sur son visage l’aveugle, mais elle n’est pas dupe pour ne pas savoir qu’elle est actuellement dans une salle d’interrogation. Suffisait de voir quelques films pour connaître ça.
Un grincement brise sa tranquillité, quelques pas puis une lampe éteint. Une forme se dessine en un humain et s’assoit en face. Elle dépose des documents, dont une photo ressemblant étrangement à sa création : Sephiria Fleming.


« Quoi ? C’est pour ça que je suis enfermée ici ? Ça fait une journée que je n’ai pas pris de douche. Vous savez ce que c’est au moins ? Je pu comme un porc. Qu’est-ce que vous voulez ? »

La forme tapote la photo avec son index tandis que la prisonnière soupire en basculant sa tête en arrière.

« Raah. Oui c’est une photo. Bravo. Quoi alors ? Vous avez une langue ? Des oreilles pour écouter, une langue pour parler. Tss. Ne dites rien. Très bien. Oui, elle s’appelle Sephiria Fleming. Maintenant laissez-moi partir ! Vous savez, j’ai fait au moins soixante-quinze rédactions en environ quinze jours. Mes yeux brûlent ! J’ai bien droit à un peu de repos… »

Une masse musculaire, d’au moins trois tonnes, arrive à ses côtés et presse son bras comme étau. Elle beugle avec véhémence, crachant, pestant, injuriant dans un joli jargon fleuri. La forme tapote encore la photo.

« OK ! C’est bon ! Stop ! … Ho… Pu… Nom d’une pipe… en bois. Je vais m’y mettre. Tu notes ? Ma main est emprisonnée. Non parce que j’t’explique, Inspiration est partie en vacances, me laissant avec une page blanche à remplir. Sans compter sur Imagination qui avait décidé d’imposer sa grève au même moment, pendant que moi j’étais restée comme une idiote devant mon document Word… Enfin, puisque vous avez attrapé ces deux zigotos, on va pouvoir commencer. »

La forme attrape une plume puis une page, elle noircit une première ligne puis suspend sa pointe en attendant que la prisonnière veuille bien délier ses lèvres et révéler l’histoire tant attendu. Celle-ci, d’ailleurs, prend une grande inspiration, humecte ses lèvres et commence son récit.

« Il était une fois… Non. Raye ça. Ce n’est pas un conte de fée. Laisse-moi réfléchir. Mon récit commence avant qu’une météorite n’écrase notre chère Terre… Je ne vais pas te raconter ce qu’il s’est passé, un texte écrit relate très bien ses événements. D’ailleurs, il aurait pu choisir une autre planète, vu comment chaque terriens détruisaient notre bonne vieille Terre… C’est moyen d’atterrir sur une porcherie.

« Enfin ! Nous on s’intéresse à un démon venu d’enfer. Peu importe son nom, il n’est pas très important. Donc ce monsieur, qui était déjà en amour avec une autre démone, fut prise d’une violente fièvre pour une autre femme, dont on taira aussi son nom. Les notions de fidélité sont très floues dans ce nouveau monde. Toujours était-il qu’après avoir longuement batifolé avec une succube, celle-ci finit par être engrossée. Eeh oui, à force de jouer avec le feu, on se brûle ! Sir Keravel… Ha oups ! J’ai dit son nom… Enfin peu importe, lui et lady O’Brien… Décidément !

« On recommence ! J’espère que tu as rayé ça… Leurs noms doivent rester anonyme. Oui, donc, il abandonna cette pauvre succube à son sort car monsieur avait déjà quelques bouches à nourrir apparemment. Voilà j’ai déposé ma trame. Serait-il possible d’aller au petit coin maintenant ? »

La forme trempe sa plume dans son écrier, arrache une nouvelle page et se remet en position pour écrire tandis que la masse musculaire se fait sentir dans son dos.

« Ok, ça, ça veut dire non. Bien. Bien… Note donc.

« L’enfant était née entre une paire d’cuisse, poussant un cri terrible à sa venue au monde. Ses petites mains étaient fermées et ses paupières closes, n’arrivant pas à s’habituer à la vive luminosité. Ses cris, poussant sa première respiration, étaient accompagnés d’autres vocalises heureuses et larmoyantes. Mais sa mère était allongée sans vie, rêvant certainement d’étouffer son bébé pour qu’il cessât de geindre.

« Elle s’était assise sur une chaise, posant ses coudes sur une table et ses mains cachant son visage fatigué. Derrière ses mains entrouvertes, un regard pervers était posé sur son petit corps endormi. Oui, elle allait se vendre à prix d’or. Certains maîtres paieraient pour avoir une si jolie servante. C’en était même certains.

« Plusieurs années s’écroulèrent où sa mère attendit patiemment que sa fille deviennent suffisamment femme pour l’envoyer récurer et servir de jouet. Elle n’avait qu’une hâte, c’est qu’elle parte à jamais. Néanmoins, elle eut un culot monstre de prendre quelques rentes sur ses services, en paiement de toutes ses années où elle l’avait nourri, logé, blanchi. Elle allait faire venir l’enfer sur terre pour cette pauvre petite.

« Elle était à nouveau allongée sur un lit d’hôpital, proche des portes de la mort. Sa mine était creuse, blafarde. Sa beauté n’était qu’un lointain souvenir, une chimère qui prenait fin. Sa fille était à ses côtés, suppliant sa génitrice silencieusement avec ses larmes, tandis qu’un homme touchait son épaule d’une main qui était certainement bienveillante. Il souriait mauvaisement. Et sa mère rendit son dernier souffle, heureuse d’avoir léguée sa fille comme servante à un riche maître.

« Pause. Je dois vraiment raconter ce qu’il va se passer ensuite ? Ce n’est pas très beau. »

La jeune fille fait une grimace avec sa bouche, remettant une nouvelle fois ses lunettes sur son nez. Elle serre ses jambes, sentant son besoin pressant refaire surface. La forme, quant à elle, émet un petit souffle. Le message est clair. Si elle veut pouvoir s’en aller, il faut terminer cette histoire.

« Âme sensible s’abstenir.

« Ma petite héroïne était donc sous la tutelle d’un démon avare et radin. Comme toujours, elle fit des ménages, se contentant de jouir qu’un peu de nourriture et une couchette de paille pour dormir. Ce démon se comportait comme un dragon qui dormait sur ces richesses. Il n’en avait jamais assez. Alors qu’elle grandissait, elle devint une richesse très convoitée pour sa beauté. L’horreur commença à partir de ce moment.

« Non vraiment… Je ne peux pas. Personne ne devrait avoir à vivre ça, même si ce n’est qu’une histoire… Voyez ça avec l’écrivain qui a composé sa fiche… Bon d’accord ! J’y retourne.

« D’abord quelques effleurement par-ci, puis quelques attouchements innocents par là. Elle subit longtemps ce petit manège, n’osant se plaindre à qui que ce soit. À qui aurait-elle pu ? La jeune fille ne connaissait ni son père, ni une potentielle famille et sa mère était défunte. Personne pour sauver cette jeune jouvencelle en détresse. Les flatteries finirent par devenir concrètes où il prit de force ce qui revenait de droit au seigneur de maison.

« Aucun jour ne passa sans qu’une main ne vint souiller son corps avec quelques caresses ou quelques claques. Elle ne pouvait qu’endurer, autant pour rassasier sa faim en tant que demi-succube, autant parce qu’elle n’était qu’une servante. Mais pas un jour ne filait sans qu’elle ne maudisse ce démon. Le soir venu, c’était devenu une habitude, elle attendait dans un petit salon où était amassé ses précieux trésors. Elle attendait nue qu’il vienne se repaître sur son corps. Il commençait par complimenter son corps voluptueux, puis embrassait son cou avec fougue. Sans attendre, sa main venait pétrir son seins avec force tandis qu’il mordait son cou. Il descendit rapidement se satisfaire sur ses pointes, puis encore ses doigts fouillaient son corps crispé.

« Elle cria, repoussant farouchement son maître. Le démon grogna, attrapa sa cravache et fouetta son corps déjà marquée. Les coups cessèrent immédiatement alors qu’elle s’empara d’un tissus pour cacher ses formes. Un individu s’était introduit dans la demeure, massacrant son maître comme un forcené jusqu’il n’y ait plus aucun souffle. Loin d’être apeurée, ce qui était fort étrange, elle en tomba éperdument amoureuse ; un démon à l’allure égyptienne. La première personne qui avait osé sauver cette pauvre fille… Le roi des voleurs.

« Ha ! Elle n’y est pas du tout. Moi-même ça me fait rire. De base, ce fameux démon était venu pour dérober un joyaux et cette cruche craque pour lui. Ne me regardez pas comme ça, je ne fais que respecter le texte initial. Sinon, ma scène de non consentement n’était pas trop… »

Encore une moue, elle cherche ses mots mais ne finit pas sa phrase. La jeune prisonnière toussote légèrement puis reprend son récit puisque ni la forme, ni la brute épaisse ne semble vouloir argumenter avec elle.

« La jeune succube s’accrocha à ses vêtements, ses yeux saphir violet suppliant ce garçon d’emmener celle-ci avec lui. Sa mâchoire décrocha un violent rire sarcastique, allant simplement prendre ce qu’il était venu dérober. Puis il disparu comme une ombre. Elle se lança à sa poursuite, ne cessant de vanter ses mérites en tant que femme de chambre, poussant même le culot à lui dire qu’elle était super bonne au lit. Le démon refusa toujours. Mais ce n’était rien face à l’acharnement qu’elle avait développé pour lui.

« Puis, assis sur un muret, admirant un beau coucher de soleil, il consenti à demander son prénom. Elle répondit simplement qu’il pouvait l’appeler comme il le désirait, qu’un nom n’était pas important, surtout lorsqu’il venait d’une mère indigne. En regardant ses yeux saphir, sa beauté encore innocente, il prononça : « Sephiria. ».

« Le roi des voleurs promit. Une fois sa vengeance accomplit, il reviendrait ravir cette jouvencelle.

« Pfff. Et trois cents plus tard, il n’a toujours pas réalisé sa vengeance… Enfin, c’est pas dans le récit ça. Ne note pas ça. Surtout pas. Est-ce que c’était suffisamment romantique ? Après une scène aussi violente, un truc culcul-la-praline était nécessaire. J’aurai aussi pu dire qu’il s’était incliné et aurait mandé sa main… mais ce serait mentir. Dommage. T’en penses quoi, toi ? »

La forme ne dit toujours rien, ce qui fait grimacer la prisonnière. Elle masse ses yeux rougis par un manque de sommeil évident.

« En attendant qu’ils se retrouvent, Sephiria ne s’était pas tourné les pouces. Fidèle à son amour, elle continua à faire des ménages, voyageant à travers plusieurs états pour répandre son nom. Elle récoltait quelques informations sur des riches marchands, ou sur ceux qui pourraient savoir pour Mephisto et Halturiel. Elle en profita pour retrouver son statut de maîtresse en amassant quelques richesses à son tour.

« On arrive à la fin ! Après trois cents ans d’enquête, elle finit par retrouver son amour de jeunesse. Ce gros imbécile… Je veux dire, ce démon en quête de vengeance ne reconnut même pas ma pauvre héroïne. Rassurez-vous après qu’il l’aura dragué et qu’ils seront passés au lit, la mémoire va lui revenir… Cette fin est bâclé, mais ce n’est même pas vraiment une fin puisqu’il y aura une suite. Juste pas ici.

« Je peux être relâchée désormais ? Je meurs d’envie d’aller au petit coin… »

Sourire suppliant aux lèvres, la prisonnière revendique son droit de pouvoir sortir de cette prison comme convenu. La forme range sa plume, son encrier, ses précieux documents puis sort, suivi de son garde. La jeune fille s’époumone, toujours attachée à la chaise, jurant à nouveau dans un langage fleuri. Vraiment, les motivateurs de fiches ne sont pas sympas ! L’attacher ici juste pour qu’elle finisse sa fiche…

« Avant que je ne perde toute dignité en me faisant dessus… Sachez une chose. Sephiria Fleming n’a qu’un but : que son maitre n’aime qu’elle, épouser celui-ci ensuite et se faire engrosser. Elle n’aura probablement aucun scrupule à tuer ses autres rejetons. Délivrez-moi maintenant ! J’ai fait ce que vous m’aviez dit ! BANDE DE ~ @^\{{##|[\@[[{#[\^{[| DE MES COU- ! »



Même Inspiration et Imagination ont rigolé d’une telle mise en scène raté… Et la légende dit qu’elle est toujours attachée, la forme n’ayant jamais rien promis à la fin de son récit.

Bakura
Bakura


Race du personnage : Démon ancien.

Re: Une maid dévouée... et certainement pas assez ! [Terminée] | Dim 30 Sep - 22:42

Enfiiiiin. <3

Bienvenue ma jolie maid dont la joueuse sera punie pour avoir osé me traiter d'imbécile. <3

A très vite ! <3
Anonymous
Invité
Invité


Re: Une maid dévouée... et certainement pas assez ! [Terminée] | Lun 1 Oct - 15:13



Validation

Félicitation, tu es validé(e). Tu fais partie du groupe des maîtres

Tu peux faire ta demande de maître ou esclave, lieux, métiers et RPs ICI
Amuses toi bien!

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Re: Une maid dévouée... et certainement pas assez ! [Terminée] |

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